Surveillance épidémiologique Normandie

dernière modification de cette page : 17/01/2023

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 46

En semaine 45, l’augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 s’est accélérée sur l’ensemble du territoire normand, avec un taux d’incidence en augmentation pour la sixième semaine consécutive et un R-effectif qui reste supérieur à 1. Le seuil d’alerte a de nouveau été franchi, avec un taux d’incidence régional à 120 pour 100 000 habitants.     
Tous les départements normands présentaient une augmentation de leur taux d’incidence, dont les plus importantes concernaient l’Orne (+ 101 %) et la Seine-Maritime (+ 100 %). Les taux de dépistage étaient en hausse, et restaient les plus élevés dans le Calvados et la Seine-Maritime. Le taux de positivité était en augmentation à 3,5 % (vs 3,0 % en S45).      
En parallèle, le nombre de nouvelles hospitalisations était stable à 94, et le nombre observé de nouvelles admissions en soins critiques était en légère diminution à 16 (vs 19 en S45). 
Au 23 novembre, 95,4 % des normands de plus de 12 ans avaient reçu au moins une dose de vaccin et 93,9 % étaient complètement vaccinés. Parmi les 75 ans et plus, 51,2 % avaient reçu une dose de rappel.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 45

En semaine 45, l’augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 s’est accélérée sur l’ensemble du territoire normand, avec un taux d’incidence en augmentation pour la cinquième semaine consécutive et un R-effectif qui reste supérieur à 1. Le seuil d’alerte a de nouveau été franchi, avec un taux d’incidence régional à 76 pour 100 000 habitants.

Tous les départements normands présentaient une augmentation de leur taux d’incidence, dont les plus importantes dans l’Orne (+92 %) et la Manche (+85%). Les départements de la Seine-Maritime et de l’Eure présentaient des augmentations plus modérées. Enfin, une stabilisation est constatée dans le Calvados (-3%). Les taux de dépistage repartent à la hausse, notamment dans le Calvados et la Seine-Maritime. Le taux de positivité était en augmentation à 3 % (vs 2,8 % en S44).

En parallèle, le nombre de nouvelles hospitalisations était en augmentation, et le nombre observé de nouvelles admissions en soins critiques restait stable (17 en S45 contre 18 en S44).

Au 16 novembre, 95,2 % des normands de plus de 12 ans avaient reçu au moins une dose de vaccin et 93,6 % étaient complètement vaccinés. Il est estimé que 69,3% des personnes de 65 ans et plus éligibles à la dose rappel ont effectivement reçu leur dose de rappel, au 16 novembre 2021. Parmi les 75 ans et plus, 44,9 % avaient reçu une dose de rappel.

Dans un contexte d’augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 et des virus hivernaux, notamment chez les plus âgés, il est primordial d’encourager la vaccination des personnes âgées encore non vaccinées ainsi que l’administration du rappel aux personnes éligibles (dont celles âgées de 65 ans et plus), et de maintenir l’adhésion aux gestes barrières à un haut niveau, compte tenu de l’efficacité de ces mesures qui a été observée jusqu’à présent pour contenir l’épidémie et préserver le système de soins.

https://www.santepubliquefrance.fr/regions/normandie/documents/bulletin-regional/2021/surveillance-sanitaire-en-region-normandie.-point-au-19-novembre-2021


Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 44

En semaine 44, l’augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 s’est accélérée sur l’ensemble du territoire normand, avec un taux d’incidence en augmentation pour la quatrième semaine consécutive et un R-effectif qui reste supérieur à 1. Le seuil d’alerte a de nouveau été franchi, avec un taux d’incidence régional à 54 pour 100 000 habitants.

Tous les départements normands présentaient une augmentation de leur taux d’incidence, dont les plus importantes dans le Calvados (+44 %) et dans l’Orne (+40 %). La Seine-Maritime, l’Eure et la Manche présentaient également des augmentations importantes, bien que plus modérées.

Dans le contexte des vacances scolaires, la poursuite de la diminution du taux de dépistage était observée chez toutes les classes d’âges, et plus fortement chez les 10-14 ans. Le taux de positivité était en augmentation chez toutes les classes d’âge, et supérieur à 3 % dans les départements du Calvados, de l’Eure et de l’Orne.

En parallèle, le nombre de nouvelles hospitalisations était en légère baisse, et le nombre observé de nouvelles admissions en soins critiques restait stable (16 en S44 contre 14 en S43).

Au 9 novembre, 95,0 % des normands de plus de 12 ans avaient reçu au moins une dose de vaccin et 93,4 % étaient complètement vaccinés. Parmi les 75 ans et plus, 39,8 % avaient reçu une dose de rappel.

Dans un contexte d’augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 et des virus hivernaux, notamment chez les plus âgés, il est primordial d’encourager la vaccination des personnes âgées encore non vaccinées ainsi que l’administration du rappel aux personnes éligibles (dont celles âgées de 65 ans et plus), et de maintenir l’adhésion aux gestes barrières à un haut niveau, compte tenu de l’efficacité de ces mesures qui a été observée jusqu’à présent pour contenir l’épidémie et préserver le système de soins.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 41

En semaine 41, une reprise de la circulation virale est observée en Normandie, avec une augmentation du taux d’incidence (+29%) et un R-effectif >1. La hausse du taux d’incidence était plus marquée chez les 0-9 ans et les plus de 60 ans. À ce stade, aucun impact sur les indicateurs hospitaliers n’est observé (nouvelles hospitalisations stables).  Au niveau départemental, quatre départements enregistraient une augmentation : la Seine-Maritime (31/100.000, +35%), le Calvados (36/100.000, +33%), l’Eure (40/100.000, +54%) et la Manche (14/100.000, +27%). 

Au 19 octobre, 81,5 % de la population avait reçu au moins une dose de vaccin et 79,8 % était complètement vaccinée. Parmi les 65 ans et plus, seuls 3,7 % avaient reçu une dose de rappel. Dans un contexte d’augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 et des virus hivernaux, il est primordial d’encourager la vaccination des 65 ans et plus éligibles au rappel et de maintenir l’adhésion aux gestes barrières à un haut niveau, compte tenu de l’efficacité de ces mesures pour contenir l’épidémie et préserver le système de soins.

Par ailleurs, depuis le 15/10/21, les tests de dépistage du SARS-CoV-2 ne sont plus automatiquement pris en charge par l’Assurance maladie. Le dépistage reste gratuit pour les personnes vaccinées, les mineurs et les personnes-contacts. Pour les autres, même symptomatiques, une prescription médicale est désormais nécessaire. Sont principalement concernées les personnes majeures non vaccinées et asymptomatiques, qui devront à présent payer pour réaliser les tests dits « de confort » permettant d’obtenir un passe sanitaire. Une baisse importante de leur nombre est attendue, entraînant une diminution du taux de dépistage. En revanche, le taux de positivité chez les asymptomatiques étant très faible (0,5% en S41) comparé à celui des symptomatiques (5,6%), l’impact sur le nombre de cas confirmés devrait être limité, avec une baisse modérée du taux d’incidence. Par conséquent, le taux de positivité devrait augmenter . Le déremboursement étant entré en vigueur à la fin de S41, ces effets sont surtout attendus dès S42. C’est pourquoi, afin d’assurer le suivi de l’évolution de l’épidémie durant cette phase de transition, 3 indicateurs épidémiologiques vont faire l’objet d’une attention particulière, en complément de ceux habituellement mis en avant dans ce bilan : il s’agit du taux de positivité, du nombre de cas et du nombre de personnes testées chez les personnes symptomatiques.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 40

En semaine 40 en Normandie, l’impact de la COVID-19 est limité. Le taux d’incidence est bas, et les indicateurs en ville et en ESMS sont stables ou en baisse. L’activité hospitalière reste modérée avec une poursuite de la baisse du nombre de nouvelles hospitalisations et admissions en soins critiques.

 Au niveau départemental, l’ensemble des TI était bas (≤ 30/100 000 hab.). Trois départements enregistraient une diminution : la Seine-Maritime (23/100 000, -8 %), l’Eure (26/100 000, -13 %) et la Manche (11/100 000, -31 %). Les TI du Calvados et de l’Orne étaient en augmentation mais restaient à un niveau modéré (respectivement 27/100 000, et 30/100 000, +4 % et + 50 %). 

Les taux de positivité restaient inférieurs à 1 %. L’activité de dépistage était globalement stable avec quelques disparités départementales : diminution dans la Manche (- 9 %) et hausse dans l’Orne (+8 %) .

Cependant, la levée de certaines mesures comme le port du masque à l’école dans l’ensemble des départements normands appelle à beaucoup d’attention sur l’évolution de la situation dans les prochaines semaines. De même, dans un contexte de diminution d’adhésion aux mesures barrières, il reste utile de rappeler l’importance des mesures combinées : continuer à encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, tout en maintenant un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 39

En semaine 39 en Normandie, l’impact de la Covid-19 est limité. Le taux d’incidence est bas, et les indicateurs en ville et en ESMS sont stables ou en baisse. L’activité hospitalière reste modérée avec une poursuite de la baisse du nombre de nouvelles hospitalisations et admissions en soins critiques.

Au niveau départemental, l’ensemble des TI était bas (≤ 30/100 000 hab.). Trois département enregistraient une diminution : la Seine-Maritime (25/100 000, -40%), l’Eure (30/100 000, -17%) et la Manche (16/100 000, -11%). Les TI du Calvados et de l’Orne étaient en augmentation mais restaient à un niveau modéré (respectivement 26/100 000, et 30/100 000, +18% chacun).

Les taux de positivité restaient inférieurs à 1%. L’activité de dépistage était stable avec quelques disparités départementales.

Cependant, la levée de certaines mesures comme le port du masque à l’école dans l’ensemble des départements normands appelle à beaucoup d’attention sur l’évolution de la situation dans les prochaines semaines.

De même, dans un contexte de diminution d’adhésion aux mesures barrières, il reste utile de rappeler l’importance des mesures combinées : continuer à encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, tout en maintenant un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.  

ENQUETE COVIPREV

Les deux vagues de l’étude menées pendant l’été ont mis en avant une diminution de l’adhésion des normands aux mesures de protection à adopter face à la COVID-19. Entre mai-juin et juillet-septembre 2021, les quatre types de mesures observées ont enregistré une stabilité (« se laver régulièrement les mains ») ou une baisse  (non significative pour « éviter les regroupements en réunion et face à face », significative pour « porter un masque en public » et « saluer sans se serrer la main et arrêter les embrassades»).

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 38

En semaine 38 en Normandie, la situation demeure stable. Le taux d’incidence est stable, et les indicateurs à la ville et en ESMS sont stables ou en baisse. L’activité hospitalière reste limitée avec une poursuite de la baisse du nombre de nouvelles hospitalisations, et une légère augmentation du nombre de nouvelles admissions en soins critiques qui reste néanmoins bas. 

Au niveau départemental, trois département présentent des taux d’incidence en-dessous ou proche du seuil de vigilance de 20/100 000 hab. Il s’agit des départements de l’Orne (17/100 000 hab. ; - 27%), de la Manche (18/100 000 hab. ; - 22%), et du Calvados (21/100 000 hab. ; - 4%). En Seine-Maritime, le taux d’incidence est en légère augmentation, notamment chez les moins de 15 ans, avec 42/100 000 hab. (+ 2%). Enfin dans l’Eure, le taux d’incidence est stable (36/100 000 hab.). Les taux de positivité restent inférieurs ou égaux à 1%. L’activité de dépistage est stable avec quelques disparités départementales. 

Cependant, la levée de certaines mesures comme le port du masque à l’école à partir du début de la semaine prochaine dans l’ensemble des départements normands appelle à avoir encore beaucoup d’attention sur l’évolution de la situation dans les prochaines semaines. D’autant plus, que cette levée de cette mesure concerne une population où l’on note une circulation du virus plus importante que dans les autres classes d’âge ces dernières semaines. Il est important de continuer à encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, tout en maintenant un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

 

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 37

En semaine 37 en Normandie, la situation se stabilise avec un taux d’incidence qui diminue pour la cinquième semaine consécutive et des indicateurs à la baisse en ville et à l’hôpital. Cette baisse reste néanmoins à consolider en raison du contexte de début d’année scolaire qui maintient un certain degré d’incertitude sur l’évolution de la situation dans les semaines à venir.

 Le taux d’incidence régional était en baisse par rapport à la semaine 36 (-32%, 32/100 000 hab.). Au niveau départemental, une baisse du taux d’incidence était observée dans tous les départements : l’Orne avec 24/100 000 hab. (- 27%), la Manche avec 23/100 000 hab. (- 23%), le Calvados avec 22/100 000 (- 39%). Dans l’Eure et la Seine-Maritime, les TI étaient légèrement plus élevés avec respectivement des valeurs à 36/100 000 hab. (- 37%), et 41/100 000 hab. (- 29%). Les taux de positivité étaient tous inférieurs à 1%. L’activité de dépistage était en légère augmentation dans le Calvados et la Seine-Maritime, et en baisse dans les autres départements.

 Dans un contexte de circulation virale, de diffusion généralisée du variant Delta et de rentrée scolaire, il est important de continuer à encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, tout en maintenant un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 35

En semaine 35 en Normandie, la situation se stabilise avec un taux d’incidence qui diminue pour la troisième semaine consécutive, mais des indicateurs à la ville et en ESMS relativement stables. Néanmoins, cette tendance n’a encore que peu de répercussion sur les indicateurs hospitaliers, et le contexte de rentrée scolaire appelle à avoir encore beaucoup d’attention sur l’évolution  de la situation dans les semaines à venir. 

Le taux d’incidence régional est en baisse par rapport à la semaine 34 (-28%, 65/100 000 hab.). Au niveau départemental, une baisse du taux d’incidence est observée dans tous les départements. Trois disposent des taux d’incidence proches du seuil de 50/100 000 habitants : le Calvados (55/100 000 hab.), la Manche (45/100 000 hab.) et l’Orne(49/100 000 hab.). Les TI est en diminution dans toutes les classes et est chez les moins de 50 ans. Dans le contexte de la mise en place du pass sanitaire, le taux de dépistage est en diminution mais reste à des niveaux élevés.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 34

En semaine 34 en Normandie, la situation se stabilise avec un taux d’incidence qui diminue pour la deuxième semaine consécutive, et des indicateurs à la ville et en ESMS stables ou à la baisse. Néanmoins, cette tendance n’a encore que peu de répercussion sur les indicateurs hospitaliers, et le contexte de rentrée scolaire appelle à avoir encore beaucoup d’attention sur l’évolution  de la situation dans les semaines à venir. 

Le taux d’incidence régional est en baisse par rapport à la semaine 33 (-20%, 90/100 000 hab.) et particulièrement dans les départements de la Manche (-32%, 61/100 000 hab.) et du Calvados (-35%, 70/100 000 hab.).  Il est en moindre diminution dans l’Eure (-7%, 93/100 000hab.) et la Seine-Maritime  (-18%, 111/100 000 hab.) et stable dans l’Orne (70/100 000 hab.). Il diminue dans toutes les classes d’âge, sauf chez les plus de 70 ans, ou il est stable ou en légère augmentation. Dans le contexte de la mise en place du pass sanitaire, le taux de dépistage est en légère baisse mais reste à des niveaux élevés. 

Dans un contexte de circulation virale toujours élevée, de diffusion généralisée du variant Delta, et de rentrée scolaire, il est important de continuer à encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, tout en maintenant un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 32

En semaine 32 en Normandie, l’évolution de la situation restait défavorable, avec une poursuite de la hausse de l’activité hospitalière liée à la COVID-19. 

Le taux d’incidence régional était stable par rapport à la semaine 31 mais avec une augmentation  marquée dans le département de la Seine-Maritime (+16%) avec un TI à 137/100.000. Dans le département du Calvados, le taux d’incidence a poursuivi sa baisse (- 27%) mais est resté relativement important à 132/100 000. Le taux de dépistage est en augmentation. Les taux d’incidences les plus élevés restaient dans les classes d’âge inférieures à 60 ans, particulièrement chez les 20-30 ans et les 30-39 ans, mais avec une tendance à la baisse. Parallèlement, on observe une légère augmentation du nombre de nouvelles hospitalisations et une stabilisation du nombre d’admissions en soins critiques.

Dans un contexte toujours élevé de circulation virale, de diffusion généralisée du variant Delta, et de reprise de l’activité hospitalière liée à la COVID-19, il est important d’encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, dans l’objectif d’atteindre un niveau suffisant d’immunité collective et de protéger les personnes les plus fragiles. Il est également essentiel de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 31

En semaine 31 en Normandie, l’évolution de la situation reste défavorable, avec une poursuite de la hausse de l’activité hospitalière liée à la COVID-19.  

Le taux d’incidence régional poursuit son augmentation, bien que de façon moins soutenue. L’augmentation est plus marquée dans le département de l’Orne (85/100.000, + 37%), mais le Calvados demeure le département avec le taux d’incidence le plus élevé bien qu’en baisse (181/100.000, -13%). Dans toute la région, les taux d’incidences les plus élevés restent dans les classes d’âge inférieures à 60 ans, mais une hausse importante est observée chez les plus de 90 ans. 

Parallèlement, les nombres de nouvelles hospitalisations et d’admissions en soins critiques poursuivent leur augmentation, là aussi de façon plus marquée chez les plus de 90 ans.  

Dans un contexte toujours élevé de circulation virale, de diffusion généralisée du variant Delta, et de reprise de l’activité hospitalière liée à la COVID-19, il est important d’encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, dans l’objectif d’atteindre un niveau suffisant d’immunité collective et de protéger les personnes les plus fragiles. Il est également essentiel de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 30

En semaine 30 en Normandie, la dégradation de la situation se poursuit avec une reprise de l’activité hospitalière liée à la Covid-19.

 Bien que de façon moins soutenue, le taux d’incidence régional reste à la hausse. L’augmentation est plus marquée dans le département de l’Eure (+43%, 99/100.000) mais le Calvados demeure le département avec le taux d’incidence le plus élevé (+7%, 206/100.000). Dans toute la région, les taux d’incidences restent élevés dans les classes d’âge inférieures à 60 ans, plus particulièrement chez les 20-30 ans.

Parallèlement, les nombres de nouvelles hospitalisations et d’admissions en soins critiques sont en augmentation.

 Dans un contexte toujours élevé de circulation virale, de diffusion généralisée du variant Delta, et de reprise de l’activité hospitalière liée à la Covid-19, il est important d’encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, dans l’objectif d’atteindre un niveau suffisant d’immunité collective et de protéger les personnes les plus fragiles. Il est également essentiel de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 28

En semaine 29 en Normandie, la dégradation de la situation se poursuit avec des indicateurs épidémiologiques qui continuent leur augmentation.   

Le taux d’incidence a augmenté de 55% entre les semaines S28 et S29. L’augmentation de l’incidence était plus marquée dans le département de la Manche (+74%) mais le Calvados demeure le département avec le taux d’incidence le plus élevé (192/100.000). Les taux d’incidences restaient élevés dans les classes d’âge inférieures à 60 ans, plus particulièrement chez les 20-30 ans. Cependant, un ralentissement de la hausse des taux d’incidence est observé sur les derniers jours, à confirmer avec la consolidation des données en S30.  

Parallèlement, les nombres de nouvelles hospitalisations sont en augmentation mais restent à des taux bas, et les admissions en soins critiques restent stables.  

Les données issues de la vague 26 (15-21/07/2021) de l’enquête Coviprev montrent globalement un relâchement dans l’adoption des mesures barrières (page 11).  

Dans un contexte d’augmentation de la circulation virale et de diffusion croissante du variant Delta, il est important d’encourager la vaccination pour toutes les personnes éligibles, dans l’objectif d’atteindre un niveau suffisant d’immunité collective et de protéger les personnes les plus fragiles. Il est également essentiel de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 28

En semaine 28 en Normandie, la dégradation de la situation se poursuit avec des indicateurs  épidémiologiques qui poursuivent leur augmentation.  

Le taux d’incidence brut a augmenté de 103% entre les semaines S27 et S28. L’augmentation de l’incidence reste plus marquée dans le département du Calvados où elle est de 124/100.000. Le taux d’incidence était en augmentation dans toutes les classes d’âge les moins avancées (inférieures à 65 ans), et particulièrement marquée chez les jeunes adultes.

Parallèlement, les nombres de nouvelles hospitalisations et admissions en soin critique sont en légère augmentation mais restent à des taux bas. 

Les données issues de la vague 25 (21-28/06/2021) de l’enquête Coviprev montrent un relâchement dans l’adoption des mesures barrières (page 11). 

Dans un contexte d’augmentation de la circulation virale et de diffusion croissante du variant Delta, il est important d’encourager la vaccination toutes les personnes éligibles, dans l’objectif d’atteindre un niveau suffisant d’immunité collective et de protéger les personnes les plus fragiles. Il est également essentiel de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 27

En semaine 27 en Normandie, la dégradation de la situation se poursuit avec des indicateurs épidémiologiques en augmentation. 

Le taux d’incidence a augmenté de 68 % entre les semaines S26 et S27. L’augmentation de l’incidence est plus marqué dans le département du Calvados où elle est supérieur à 50/100.000. Le taux d’incidence était en augmentation dans toutes les classes d’âge, particulièrement marquée chez les jeunes adultes. Les données du contact tracing au niveau national montraient une forte hausse du nombre de cas ayant fréquenté des lieux de convivialité.  

Parallèlement, les nombres de nouvelles hospitalisations et admissions en soin critique sont en augmentation mais restent à des taux bas. 

Dans un contexte d’augmentation de la circulation virale et de diffusion croissante du variant Delta, il est important d’encourager la vaccination toutes les personnes éligibles, dans l’objectif d’atteindre un niveau suffisant d’immunité collective et de protéger les personnes les plus fragiles. Il est également essentiel de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé. 

 

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 26

En semaine 26 en Normandie, après plusieurs semaines d’amélioration des indicateurs épidémiologiques, on observe une dégradation de la situation avec une augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 chez les 15-64 ans et une forte progression de la détection du variant Delta.

Le taux d’incidence a augmenté de 33 % entre les semaines S25 et S26. Tous les départements ont des taux d’incidence brut bas, mais en augmentation pour le Calvados, la Seine-Maritime et l’Eure. Les taux de positivité sont tous inférieurs à 5%. La pression sur l’activité hospitalière reste en diminution.  Dans un contexte de diffusion croissante du variant Delta, il est important d’encourager à la vaccination toutes les personnes éligibles, dans l’objectif d’atteindre un niveau suffisant d’immunité collective et de protéger les personnes les plus fragiles. Il est également essentiel de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures de prévention et de dépistage, de traçage des contacts et de respect de l’isolement en cas d’infection ou de contact avec un cas confirmé.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 25

En semaine 25, en Normandie, les indicateurs épidémiologiques continuent de diminuer.  

Le taux d’incidence a baissé de 35 % entre les semaines S24 et S25. Tous les départements ont vu leur taux d’incidence brut et par classe d’âge diminuer. Les taux de positivité sont tous inférieurs à 5%. La pression sur l’activité hospitalière se réduit également, suivant la même tendance.  

Dans le contexte de levée des mesures de restrictions sanitaires, le respect des mesures individuelles de prévention, de dépistage et d’isolement des cas et des contacts reste important. La vaccination des personnes éligibles non encore vaccinées constitue également un enjeu majeur pour consolider cette évolution favorable.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 24

En semaine 24, en Normandie, les indicateurs épidémiologiques continuent de diminuer.

Le taux d’incidence a baissé de 44 % entre les semaines S23 et S24. Tous les départements ont vu leur taux d’incidence brut et par classe d’âge diminuer. Les taux de positivité sont tous inférieurs 5%. La pression sur l’activité hospitalière se réduit également, suivant la même tendance.
Dans le contexte de levée des mesures de restrictions sanitaires, le respect des mesures individuelles de prévention, de dépistage et d’isolement des cas et des contacts reste important. La vaccination des personnes éligibles non encore vaccinées constitue également un enjeu majeur pour consolider cette évolution favorable.

Virologie :
► 713 nouveaux cas ont été confirmés en Normandie en semaine S23
► Baisse du taux d’incidence brut régional : -44%, 22/100 000 vs 38/10 000 en S23
► Diminution du taux de dépistage brut (-16,5%) ;
► Baisse du taux de positivité 0,9%;
► Diminution du nombre de reproduction effectif (Reff), inférieur 1, partir des tests PCR positifs : 0.52 (0.49-0.56).



Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 23

En semaine 23, en Normandie, les indicateurs épidémiologiques continuent de diminuer.

 Le taux d’incidence a baissé de 45 % entre les semaines S22 et S23. Tous les départements ont vu leur taux d’incidence brut et par classe d’âge diminuer. Les taux de positivité sont tous inférieurs à 5%. La pression sur l’activité hospitalière se réduit également, suivant la même tendance.

Dans le contexte de levée des mesures de restrictions sanitaires, le respect des mesures individuelles de prévention, de dépistage et d’isolement des cas et des contacts reste important. La vaccination des personnes éligibles non encore vaccinées constitue également un enjeu majeur pour consolider cette évolution favorable.

Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 22

En semaine 22, en Normandie, les indicateurs épidémiologiques continuent de diminuer, atteignant pour certains les plus bas niveaux depuis la fin de l'été 2020, avant le début de la deuxième vague épidémique. La pression sur l’activité hospitalière se réduit également, suivant la même tendance. Le taux d’incidence a diminué de 32 % entre les semaines S21 et S22. Un taux d’incidence corrigé , prenant en compte l’impact des jours fériés, est présent en page 6, montrant une diminution de 42 % entre les semaines S21 et S22.
Tous les départements ont vu leur taux d’incidence brut et par classe d’âge diminuer. Les taux de positivité sont tous inférieurs ou égaux au seuil de 5%.
Dans le contexte de la levée progressive des mesures de restrictions sanitaires, le respect des mesures individuelles de prévention, de d pistage et d’isolement des cas et des contacts reste important. La vaccination des personnes éligibles non encore vaccin es constitue également un enjeu majeur pour consolider cette évolution favorable.

Virologie :

  • 2 303 nouveaux cas ont été confirmés en Normandie en semaine S22. 
  • Baisse du taux d’incidence régional : diminution du taux d’incidence brut (-32%, 69/100.000 vs 101 en S21) ; diminution du taux d’incidence corrigé pour les jours fériés (-42%, 70/100 000 vs 120 en S21) ;
  • Augmentation du taux de dépistage brut (+ 3%) et diminution du taux de dépistage corrigé (-12%) ;
  • Baisse du taux de positivité 2,0%.
  • A l’échelle départementale, l’incidence brute et corrigée est en diminution dans les cinq départements.
  • Diminution du nombre de reproduction effectif (Reff), inférieur 1, partir des tests PCR positifs : 0.68 (0.65-0.71).
  • L’analyse des résultats de criblage des tests RT-PCR positifs indique une prédominance nette de la proportion de suspicions de variant préoccupant 20I/501Y.V1 (Alpha), qui représentait 71,8% des tests criblés en S22 en Normandie (de 53,5 % dans l’Eure 88,3 % dans l’Orne). La proportion de suspicions de variant 20H/501Y.V2 (Beta) ou 20J/501Y.V3 (Gamma) tait de 7,9 % (de 0,0% dans l’Eure 12,5 % dans le Calvados).

En ville :

  •   SOS Médecins : part d’activité pour suspicion de Covid-19 en diminution (2,41 % en S22 vs 3,24 % en S21). 
  • Clusters : 55 sont en cours d’investigation, majoritairement en en milieu scolaire (40%), en milieu professionnel (20%) et en EMS (16,3%)
  • Couverture vaccinale avec un schéma complet des normands : 22,1% au 06 juin 2021 (20,4% en France).

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 21

En semaine 21, la plupart des indicateurs épidémiologiques ont continué de diminuer, mais la circulation du virus reste encore importante en Normandie. La répercussion sur la pression hospitalière de cette baisse observée depuis quatre semaines reste modérée. Par ailleurs, le lundi de la Pentecôte a été associé à une baisse plus importante des indicateurs de virologie (baisse de l’activité de dépistage). Cette baisse en semaine S21 a généré une diminution du taux d’incidence de –33 % en semaine S21. Un taux d’incidence corrigé, prenant en compte l’impact des jours fériés, est présenté en page 6, montrant une diminution plus faible de –22 % entre les semaines S20 et S21.Sur l’échelle départementale, tous les départements voient leur taux d’incidence diminuer. Cependant, les départements de la Manche, du Calvados et de la Seine-Maritime voient leur TI en augmentation parmi les 0-15 ans. 

Virologie :

• 3 332 nouveaux cas ont été confirmés en Normandie.

• Baisse du taux d’incidence régional : diminution du taux d’incidence brut (-33%) (102/100.000 vs 152 en S20) ; taux d’incidence corrigé jour férié (-22%) (120/100 000 vs 154 en S20) ;

• Diminution du taux de dépistage brut (-18%) et du taux de dépistage corrigé (-3%);

• Baisse du taux de positivité à 3,0%.

• Sur l’échelle départementale, l’incidence brute et corrigée est en diminution dans tous les départements• Augmentation du nombre de reproduction effectif (Reff), inférieur à 1, à partir des tests PCR positifs : 0.80 (0.78-0.83).

• L’analyse des résultats de criblage des tests RT-PCR positifs indique une prédominance nette de la proportion de suspicions de variant préoccupant 20I/501Y.V1 (Alpha), qui représentait 78,8% des tests criblés en S21 en Normandie (de 64,6 % dans le Calvados à 86,7 % dans la Seine-Maritime). La proportion de suspicions de variant 20H/501Y.V2 (Beta) ou 20J/501Y.V3 (Gamma) était de 3,2 % (de 1,2% dans l’Eure à 4,2 % dans la Manche).

En ville :

• SOS Médecins : part d’activité pour suspicion de Covid-19 relativement stable (3,24 % en S21 vs 3,23% en S20).

• Clusters : 52 sont en cours d’investigation, majoritairement en en milieu scolaire (35%) , en milieu professionnel (21%) et en EMS (19%).

• Couverture vaccinale complète des normands : 19,5% au 30 mai 2021 (18,6% en France).

À l’hôpital-établissements médico-sociaux :

• Urgences hospitalières (Oscour®): baisse de la part d’activité pour suspicion de Covid-19 (0,88% en S21 vs 1,1 % en S20).

• Poursuite de la diminution du nombre de nouvelles hospitalisations, (-20%), le nombre de patients hospitalisés est en diminution mais à un niveau élevé, avec 996 personnes hospitalisées au 02 juin.

• Diminution du nombre d’admissions en services de soins critiques (-35%). Le nombre de personnes hospitalisées dans ces services restant élevé avec 142 patients au 02 juin.

• Importante diminution du nombre d’épisodes COVID-19 en établissement médico-social avec 9 signalements par date de déclaration en S21 vs 24 signalements en S20.

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 20

En semaine 20, la plupart des indicateurs épidémiologiques a continué de diminuer, mais la circulation du virus reste encore importante en Normandie. La répercussion sur la pression hospitalière de cette baisse observée depuis quatre semaines reste modérée. Par ailleurs, le jeudi de l’Ascension a été associé à une baisse plus importante des indicateurs de virologie (baisse de l’activité de dépistage). Cette baisse en semaine S19 a généré une augmentation du taux d’incidence de +2 % en semaine S20. Un taux d’incidence corrigé, prenant en compte l’impact des jours fériés, est présenté en page 6, montrant une évolution favorable de –14 % entre les semaines S19 et S20.

Sur l’échelle départementale, le département de l’Eure présente un taux d’incidence à la hausse (+25%), notamment chez les moins de 0-15 ans (9 clusters en cours d’investigation en milieu scolaire).

Dans le contexte de la levée progressive des mesures de restrictions sanitaires, il est primordial de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures individuelles de prévention, de dépistage, d’isolement des cas et des con-tacts. Il est impératif de rappeler à chacun la responsabilité individuelle dans l’adhésion à ces mesures barrières et de limitation des contacts pour maintenir à la baisse la dynamique observée. Il est enfin important d’encourager à la vaccination les personnes éligibles non encore vaccinées.

Virologie:

  • 5 029 nouveaux cas ont été confirmés en Normandie.
  • Baisse du taux d’incidence régional : augmentation du taux d’incidence brut (+2%) (152/100.000 vs 149 en S19) ; taux d’incidence corrigé jour férié (-14%) (154/100 000 vs 178 en S19) ;
  • Augmentation du taux de dépistage (+20%), notamment après la baisse de l’activité lié à un jour férié en S19 ;
  • Baisse du taux de positivité à 3,8%.
  • Sur l’échelle départementale, l’incidence est en augmentation dans l’Eure (+25%).
  • Augmentation du nombre de reproduction effectif (Reff), inférieur à 1, à partir des tests PCR positifs : 0.95 (0.92-0.97)
  • L’analyse des résultats de criblage des tests RT-PCR positifs indique une prédominance nette de la proportion de suspicions de variant préoccupant 20I/501Y.V1, qui représentait 82% des tests criblés en S20 en Normandie (de 73% dans le Calvados à 87% dans l’Orne). La proportion de suspicions de variant 20H/501Y.V2 ou 20J/501Y.V3 était de 3,6% (de 3,1% en Seine-Maritime et dans l’Eure à 4,8% dans le Calvados).

En ville:

  • SOS Médecins : part d’activité pour suspicion de Covid-19 relativement stable (3,23% en S20 vs 2,95% en S19).
  • Clusters : 62 sont en cours d’investigation, majoritairement en EMS (16) et en milieu scolaire (15).
  • Couverture vaccinale complète des normands : 18,0% au 25 mai 2021 (16,2% en France).

À l’hôpital—établissements médico-sociaux :

  • Urgences hospitalières (Oscour®): baisse de la part d’activité pour suspicion de Covid-19 (0,57% en S20 vs 1,17% en S19 ).
  • Poursuite de la diminution du nombre de nouvelles hospitalisations, (-23%), le nombre de patients hospitalisés est en diminution mais à un niveau élevé, avec 1 077 personnes hospitalisées au 26 mai.
  • Diminution du nombre d’admissions en services de soins critiques (-31%). Le nombre de personnes hospitalisées dans ces services restant élevé avec 157 patients au 26 mai.
  • Légère augmentation du nombre d’épisodes COVID-19 en établissement médico-social avec 24 signalements par date de déclaration en S20 (vs 17 signalements en S19), mais pouvant être liée à un rattrapage de la semaine de Pentecôte, le nombre d’épisodes par date de survenue du premier cas restant stable entre les 2 semaines (14 épi-sodes en S19 et en S20).

Mortalité (page 16-17)

  • En semaine 19, la Normandie ne présentait plus d’excès de mortalité comme partout en France .


Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 19

En semaine 19, la plupart des indicateurs épidémiologiques a continué de diminuer, mais la circulation du virus reste encore importante en Normandie. La répercussion sur la pression hospitalière de cette baisse observée depuis quatre semaines reste modérée et le nombre de nouvelles admissions en soins critiques est de nouveau en augmentation.

 

Par ailleurs, pendant les jours fériés, l’activité de dépistage est plus faible que pour un même jour de la semaine non férié. Les taux d’incidence et de dépistage sont alors plus faibles et la baisse observée peut laisser penser à tort à un ralentissement du nombre d’infections ou de dépistage. Le jeudi de l’Ascension est donc associé à une baisse plus importante des indicateurs de virologie. Un taux d’incidence corrigé est présenté en page 7, montrant une évolution de -6 % du taux corrigé (178/100.000) contre une évolution de -16 % du taux brut (149/100.000).

 

Cette semaine est également marquée par l’évolution de la production des indicateurs SI-DEP intégrant la nouvelle méthode de pseudonymisation (page 6). L’ancienne méthode surestimait de 11 % le taux d’incidence régional sans conséquence sur le suivi de la dynamique de l’épidémie.

 

Dans le contexte de la levée progressive des mesures de restrictions sanitaires, il est primordial de maintenir un haut niveau d’adhésion aux mesures individuelles de prévention, de dépistage, d’isolement des cas et des contacts. Il est impératif de rappeler à chacun la responsabilité individuelle dans l’adhésion à ces mesures barrières et de limitation des contacts pour maintenir à la baisse la dynamique observée. Il est enfin important d’encourager à la vaccination les personnes éligibles non encore vaccinées.

Virologie: 

  • 4 917 nouveaux cas ont été confirmés en Normandie.
  • Diminution du taux d’incidence (-16%) pour la cinquième semaine consécutive (149/100.000 vs 177 en S18) ; diminu-tion du taux de dépistage (-3%) ; baisse du taux de positivité à 4,4%.
  • Sur l’échelle départementale, l’incidence est en augmentation dans l’Orne (+8 %).
  • Stabilisation du nombre de reproduction effectif (Reff), inférieur à 1, à partir des tests PCR positifs : 0.82 (0.80-0.85).·L’analyse des résultats de criblage des tests RT-PCR positifs indique une prédominance nette de la proportion de suspicions de variant préoccupant 20I/501Y.V1, qui représentait 82% des tests criblés en S19 en Normandie (de 66% dans le Calvados à 88% dans l’Orne). La proportion de suspicions de variant 20H/501Y.V2 ou 20J/501Y.V3 était de 3,3% (de 2,7% en Seine-Maritime à 4,4% dans le Calvados).

En ville:

  • SOS Médecins : stabilisation de la part d’activité pour suspicion de Covid-19 (2,95% en S19 vs 2,98% en S18),
  • Clusters : 77 sont en cours d’investigation, majoritairement en milieu professionnel, EMS et milieu scolaire.
  • Couverture vaccinale complète des normands : 15,8% au 18 mai 2021 (14,2 % en France).

 

À l’hôpital—établissements médico-sociaux :

  • Urgences hospitalières (Oscour®): baisse de la part d’activité pour suspicion de Covid-19 (1,38% en S19 vs 1,78% en S18 ).
  • Poursuite de la diminution du nombre de nouvelles hospitalisations, (-18%), le nombre de patients hospitalisés est en diminution mais à un niveau élevé, avec 1 199 personnes hospitalisées au 19 mai.
  • Augmentation du nombre d’admissions en services de soins critiques (+24%), notamment dans l’Eure. Le nombre de personnes hospitalisées dans ces services restant élevé avec 170 patients au 19 mai.
  • Diminution du nombre d’épisodes COVID-19 en établissement médico-social avec 17 signalements, tous comprenant des cas confirmés (21 signalements en S18).Mortalité (page 17-18)En semaine 18, la Normandie ne présentait plus d’excès de mortalité .

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 17

Pas de bulletin régional cette semaine. 

A l'échelle nationale :

En semaine 17, diminution des indicateurs épidémiologiques, restant à des niveaux toujours élevés, avec une persistance de la tension hospitalière.

  • Diminution du taux d’incidence pour la troisième semaine consécutive dans toutes les classes d’âge
  • Diminution des nouvelles hospitalisations et des admissions en soins critiques
  • Mortalité liée à la COVID-19 toujours élevée
  • Métropole : régions Île-de-France, Provence-Alpes-Côte d’Azur et Hauts-de-France les plus touchées
  • Outre-Mer : augmentation du taux d’incidence à La Réunion, stabilisation en Guyane et en Guadeloupe

Variants

  • Proportions de suspicions de variants préoccupants (VOC) par RT-PCR de criblage :
    • suspicions de variant 20I/501Y.V1 majoritaires en métropole à 80,8>#/li###
    • suspicions de variant 20H/501Y.V2 ou 20J/501Y.V3 à 5,5%, avec des hétérogénéités au niveau départemental
  • Plus d'informations sur les variants

Prévention

  • Vaccination :
    • 16 470 369 personnes ayant reçu au moins une dose, couverture vaccinale de 24,5>#/li###
    • 7 306 862 personnes complètement vaccinées, couverture vaccinale de 10,9>#/li###
  • Résultats de l’enquête CoviPrev du 21 au 23 avril 2021 :
    • tendance à la hausse de l’adoption des mesures de limitation des contacts
    • maintien à un niveau élevé des états anxieux et dépressifs
  • Importance de l’adoption systématique des mesures barrières et de la limitation des contacts et des déplacements
  • En cas de symptômes, nécessité d’un isolement immédiat et réalisation d’un test dans les plus brefs délais


Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 16


En semaine 16, les indicateurs épidémiologiques se sont maintenus à un niveau élevé, avec une tendance à la diminution pour la majorité d’entre eux. L’analyse de l’effet des mesures de restrictions indique que l’évolution des indicateurs épidémiologiques en semaines 15 et 16 est compatible avec un effet bénéfique des mesures de restrictions renforcées mises en œuvre depuis le 20 mars 2021 dans l’Eure et la Seine-Maritime, couplées aux vacances scolaires anticipées.

 

Cependant, le nombre de nouvelles admissions de patients COVID-19 en hospitalisation conventionnelle et en service de soins critiques était en augmentation. La tension hospitalière reste préoccupante. Le nombre total de patient COVID-19 actuellement hospitalisés en Normandie était en diminution pour les services de soins conventionnels mais en augmentation pour les services de soins critiques. Le nombre de patients décédés au cours de leur hospitalisation était relativement stable.

 

L’analyse des résultats des tests de criblage des variants d’intérêt collectés via l’outil SI-DEP montrait une proportion de suspicions de variant UK stable, qui représentaient 75,4% des tests criblés. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était également stable à 3,3%. La Seine-Maritime présentait une proportion de 82,8% de suspicions de variant UK, le Calvados 60,8%, l’Orne 77,9 %, la Manche 65,9% et l’Eure 73,3%. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 6,8% dans la Manche, 3,1% dans l’Eure, 7,1% dans le Calvados, 2,7% dans l’Orne et 1,4% en Seine-Maritime.

 

Dans ce contexte, l’adhésion aux mesures de prévention individuelles, le respect des mesures de freinage collectives ainsi que l’accélération de la vaccination restent des enjeux majeurs pour faire face au niveau de circulation encore très élevé du virus. Actuellement, 10,3 % des normands avaient reçu deux doses de vaccin. La couverture vaccinale à au moins une dose en population générale en Normandie était d’environ 24,4%.

Au 25 avril 2021 :

  • Incidence des cas positifs en diminution sur les données corrigées (292 en S16 vs 312 en S15 cas/semaine/100 000 hab.)
  • Diminution du nombre de reproduction effectif (Reff) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 0.93 (0.91-0.95)
  • Données hospitalières : 1 452 personnes encore hospitalisées dont 232 en services de soins critiques; le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 15.
  • Clusters -Signalement à visée d’alerte des clusters : 64 sont en cours d’investigation, majoritairement en EMS et en milieu professionnel.

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 15

En semaine 15, les indicateurs épidémiologiques se sont maintenus à un niveau élevé, avec une tendance à la diminution pour la majorité d’entre eux.

Une correction a été appliquée aux taux d’incidence et de dépistage des semaines incluant un jour férié (notamment S14) afin de prendre en compte l’effet sur l’activité de dépistage. La méthodologie a été présentée dans le Point épidémiologique du 15 avril 2021 et une note méthodologique la décrivant plus précisément est disponible sur le site internet de Santé publique France. Suite a cette correction, une baisse de la circulation virale est observée en S15 à l’échelle régionale.
Le nombre de nouvelles admissions de patients COVID-19 en hospitalisation conventionnelle et en service de soins critiques était en diminution pour la deuxième fois consécutive depuis 5 semaines. Néanmoins, même si la tension hospitalière semble s’améliorer, elle reste préoccupante. Le nombre total de patient COVID-19 actuellement hospitalisés en Normandie était en diminution pour les services de soins conventionnels ainsi que pour les services de soins critiques. Le nombre de patients décédés au cours de leur hospitalisation était en diminution.
L’analyse des résultats des tests de criblage des variants d’intérêt collectés via l’outil SI-DEP montrait une proportion de suspicions de variant UK stable, qui représentaient 73,9% des tests criblés. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était également stable à 3,5%. La Seine-Maritime présentait une proportion de 81,4 % de suspicions de variant UK, le Calvados 73,9%, l’Orne 73,8 %, la Manche 69,1% et l’Eure 66,1 %. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 8,7% dans la Manche, 7,8 % dans l’Eure, 3,5 % dans le Calvados, 2,9% dans l’Orne et 1,8% en Seine-Maritime.
La campagne de vaccination se poursuit. En semaine 15, 83,7 % des résidents d’EHPAD avaient reçu deux doses de vaccin. La couverture vaccinale à au moins une dose en population générale en Normandie était d’environ 21,7%.
Dans ce contexte, l’adhésion aux mesures de prévention individuelles, le respect des mesures de freinage collectives ainsi que l’accélération de la vaccination restent des enjeux majeurs pour faire face au niveau de circulation encore très élevé du virus.

Au 18 avril 2021 :

  • Incidence des cas positifs en diminution sur les données corrigées (312 en S15 vs 366 cas/semaine/100 000 hab. en S14)
  • Diminution du nombre de reproduction effectif (Reff) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.05 (1.03-1.06)
  • Données hospitalières : 1 543 personnes encore hospitalisées dont 225 en services de soins critiques; le nombre de nouvelles hospitalisations est en diminution par rapport à la semaine 14.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters : 47 sont en cours d’investigation, majoritairement en EMS et en milieu professionnel.

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 13

En semaine 13 en région Normandie, les indicateurs de surveillance épidémique tendent à se stabiliser sur le plan virologique mais la situation hospitalière reste inquiétante.

Les taux d’incidence sont récemment stabilisés, même en baisse pour l’Eure et l’Orne associés à une diminution des taux de positivités, orientant sur une baisse de la circulation virale dans la région, dans un contexte où les taux de dépistage sont élevés. L’étude Impact présenté dans le PE National montre le ralentissement plus précoce des indicateurs virologiques dans les 16 départements (dont l’Eure et la Seine-Maritime) où des mesures de restrictions sanitaires renforcées ont été mises en place le 20 mars et un effet de résonance sur les autres départements n’ayant pas eu de mesures renforcées.
L’analyse des résultats des tests de criblage des variants d’intérêt collectés via l’outil SI-DEP montrait une proportion de suspicions de variant UK stable, qui représentaient 79,4% (4 595) des tests criblés. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était également stable à 2,3% (131). La Seine-Maritime et l’Orne présentaient une proportion d’environ 84% de suspicions de variant UK, la Manche à environ 78%, le Calvados et l’Eure à respectivement 73 et 71%. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 6,2% dans la Calvados, 4% dans la Manche et inférieur à 2% dans les autres départements.
Le nombre de nouvelles admissions de patients COVID-19 en hospitalisation conventionnelle et en service de soins critiques était en augmentation pour la 3ème semaine consécutive. Le nombre total de patient COVID-19 actuellement hospitalisés en Normandie était aussi en augmentation, avec 1583 personnes hospitalisées au 30 mars, dont 214 en service de soins critiques. Le nombre de patients décédés au cours de leur hospitalisation était en légère diminution.
La campagne de vaccination se poursuit et 82,8 % des résidents d’EHPAD ainsi que 33,8 % des professionnels de santé avaient reçu deux doses de vaccin. La couverture vaccinale à une dose en population générale en Normandie était d’environ 10%. L’accélération de la campagne de vaccination est plus que jamais un enjeu majeur pour contrer cette évolution.

Au 4 avril 2021,

  • Incidence des cas positifs relativement stable (348,3 en S13 vs 343,6 cas/semaine/100 000 hab. en S12)
  • Taux de positivité en diminution (6,6% en S13 vs 7,4% en S12)
  • Diminution du nombre de reproduction effectif (Reff) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.16 (1.14-1.17)
  • Données hospitalières : 1 583 personnes encore hospitalisées dont 214 en services de soins critiques; le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 12
  • Clusters


    • - Signalement à visée d’alerte des clusters : 78 sont en cours d’investigation dont 7 en EHPAD


Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 12

En semaine 12 en Normandie, les indicateurs de surveillance épidémique poursuivent leur hausse. Les taux d’incidence ainsi que les taux de dépistage sont en augmentation dans tous les départements. L’analyse des résultats des tests de criblage des variants d’intérêt collectés via l’outil SI-DEP montrait une légère diminution de la proportion de suspicions de variant UK, qui représentaient 76,2% (4 280) des tests criblés. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était stable à 2,2% (125). La Seine-Maritime présentait une proportion de 84% de suspicions de variant UK, l’Eure l’Orne et la Manche à environ 71% et le Calvados à 67%. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 6,0% dans la Calvados et la Manche et inférieur à 2% dans les autres départements.
Le nombre de nouvelles admissions de patients COVID-19 en hospitalisation conventionnelle et en service de soins critiques était en augmentation. Le nombre total de patient COVID-19 actuellement hospitalisés en Normandie était aussi en augmentation, avec 1435 personnes hospitalisées au 30 mars, dont 187 en service de soins critiques. Le nombre de patients décédés au cours de leur hospitalisation était également en augmentation. Les personnes les plus fragiles face à cette épidémie restent celles âgées de plus de 65 ans, ainsi que celles présentant des comorbidités, même si un rajeunissement de l’âge des nouveaux cas et des nouveaux patients hospitalisés est observé. Avec la progression de l’épidémie, la tension hospitalière va s’accentuer dans les jours à venir. L’adhésion aux mesures de prévention individuelles, le respect des mesures de freinage collectives ainsi que l’accélération de la vaccination sont des enjeux majeurs pour faire face au haut niveau de circulation du virus et à la forte pression hospitalière.
La campagne de vaccination se poursuit et 80,4 % des résidents d’EHPAD ainsi que 33,3 % des professionnels de santé avaient reçu deux doses de vaccin. La couverture vaccinale à une dose en population général en Normandie était d’environ 9%. L’accélération de la campagne de vaccination est plus que jamais un enjeu majeur pour contrer cette évolution.
Au 28 mars 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (342,8 en S12 vs 290,6 cas/semaine/100 000 hab. en S11)
  • Taux de positivité stable (7,4% en S12 vs 7,7% en S11)
  • Stabilité du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.25 (1.24-1.27)
  • Données hospitalières : 1 435 personnes encore hospitalisées dont 187 en services de soins critiques; le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 11.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters, depuis le 11 mai 2020 :
    • 931 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 92 sont en cours d’investigation
    • 274 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 15 sont en cours d’investigation

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 11

En semaine 11 en Normandie, les indicateurs de surveillance épidémique poursuivent leur hausse. Les taux d’incidence sont en augmentation dans tous les départements, avec des taux élevés dans l’Eure, la Seine-Maritime et l’Orne. L’activité de dépistage est en hausse, notamment en milieu scolaire. L’analyse des résultats des tests de criblage des variants d’intérêt collectés via l’outil SI-DEP montrait toujours une augmentation de la proportion de suspicions de variant UK, qui représentait 79,6% (4 143) des tests criblés. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était stable à 2,7% (143). L’Eure et la Seine-Maritime présentaient une proportion de 83% de suspicions de variant UK, le Calvados 71%, l’Orne 80% et la Manche 58%. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 13,0% dans la Manche, 6,0% dans le calva-dos et inférieur à 4% dans les autres départements.
Une augmentation des nouvelles admissions de patients COVID-19 en hospitalisation conventionnelle et en réanimation était observée. Le nombre de patient COVID-19 actuellement hospitalisés en Normandie était aussi en augmentation, avec 1292 personnes hospitalisées au 23 mars. Le nombre de patients décédés au cours de leur hospitalisation était également en augmentation. Les personnes les plus fragiles face à cette épidémie restent celles âgées de plus de 65 ans, ainsi que celles présentant des comoridités, même si un rajeunissement de l’âge des nouveaux cas et des nouveaux patients hospitalisés est observée. Avec la progression de l’épidémie, la tension hospitalière va s’accentuer dans les jours à venir. L’adhésion aux mesures de prévention individuelles, le respect des mesures de freinage collectives ainsi que l’accélération de la vaccination sont des enjeux majeurs pour faire face au haut niveau de circulation du virus et à la forte pression hospitalière.
Autant la campagne de vaccination se poursuit et 43,4 % des résidents d’EHPAD ainsi que 32,9 % des professionnels de santé avaient reçu deux doses de vaccin, la couverture vaccinale à une dose en population général en Normandie était d’environ 11%. L’accélération de la campagne de vaccination est plus que jamais un enjeu majeur pour contrer cette évolution. Par ailleurs, les derniers résultats de l’enquête CoviPrev indique que la réduction systématique des contacts tend à baisser, probablement dû à la lassitude des recommandations. L’adoption systématique des gestes barrières et la limitation des contacts est indispensable dans le contexte actuel. Il reste essentiel que chaque personne présentant des symptômes évocateurs de COVID-19 s’isole immédiatement et réalise un test diagnostique dans les plus brefs délais.

Au 21 mars 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (290,4 en S11 vs 226,9 cas/semaine/100 000 hab. en S10)
  • Taux de positivité en augmentation (7,7% en S11 vs 7,3% en S10)
  • Stabilité du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.25 (1.23-1.27)
  • Données hospitalières : 1 292 personnes encore hospitalisées dont 163 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 10.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters, depuis le 11 mai 2020 :
    • 844 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 99 sont en cours d’investigation
    • 266 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 20 sont en cours d’investigation

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 10

En semaine 10 en Normandie, les indicateurs de surveillance épidémique poursuivent leur hausse. Les taux d’incidence sont en augmentation dans le tous départements et les taux de positivité sont en augmentation dans les départements de Seine-Maritime, de l’Eure et de l’Orne. L’activité de dépistage est en hausse. Le nombre de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation est stable mais reste supérieur à 1.

En milieu hospitalier, on observe une légère diminution des nouvelles admissions en hospitalisation mais le nombre total de personnes hospitalisées conventionnelle et réanimation est en augmentation par rapport à la semaine précédente. Le nombre de patients décédés au cours de leur hospitalisation est en légère baisse.
La campagne de vaccination se poursuit, 43% des résidents d’EHPAD et 32% des professionnels de santé avaient reçu deux doses.
En semaine 10, 54,3 % des tests de première intention positifs (test RT-PCR et antigéniques) enregistrés dans SI-DEP étaient associés à un test de criblage (soit 3 361). Parmi eux, 73,3 % (2 602) correspondaient à une suspicion de variant UK et 3,10% (137) à une suspicion de variant ZA ou BR. L’Eure et la Seine-Maritime présentaient, respectivement, une proportion de 81% et 76% de suspicions de variant UK, le Calvados 67%, l’Orne 70% et la Manche 45%. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 14,7% dans le Calvados, 5,1% dans le calvados et inférieur à 2% dans les autres départements.

Au 14 mars 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (228,5 en S10 vs 189,9 cas/semaine/100 000 hab. en S9)
  • Taux de positivité en augmentation (7,5% en S10 vs 7,2% en S9)
  • Stabilité du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.15 (1.13-1.16)
  • Données hospitalières : 1 278 personnes encore hospitalisées dont 168 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 9.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters, depuis le 11 mai 2020 :
    • 786 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 89 sont en cours d’investigation
    • 258 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 19 sont en cours d’investigation


Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 09

En semaine 9 en Normandie, les indicateurs de surveillance épidémique poursuivent leur hausse. Les taux d’incidence sont en augmentation dans le Calvados, l’Eure et l’Orne et stable en Seine-Maritime et dans la Manche. Les taux de positivité sont en augmentation dans tous les départements tandis que l’activité de dépistage est en baisse. Le nombre de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est en augmentation et est supérieur à 1.  

En milieu hospitalier, la situation est plus contrasté. On observe une augmentation des nouvelles admissions en hospitalisation conventionnelle et réanimation. Le nombre de patients hospitalisés en réanimation est aussi en hausse, en revanche le nombre de patients hospitalisés en service conventionnel est en diminution. Le nombre de patients décédés au cours de leur hospitalisation est également en baisse en semaine 9.  

La campagne de vaccination se poursuit, 94,7% des résidents d’EHPAD avaient reçu au moins une dose et 77% en avaient reçu deux.  

En semaine 9, 54,5 % des tests de première intention positifs (test RT-PCR et antigéniques) enregistrés dans SI-DEP étaient associés à un test de criblage (soit 3 976). Parmi eux, 65,4 % (2 602) correspondaient à une suspicion de variant UK et 3,1 % (124) à une suspicion de variant ZA ou BR. L’Eure et la Seine-Maritime présentaient, respectivement, une proportion de 79% et 68% de suspicions de variant UK, le Calvados 53%, l’Orne 65% et la Manche 33%. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 15,8% dans le Calvados, 11,4% dans la  Manche, 7,4% dans l’Orne et inférieur à 2% dans les autres départements.

Au 07 mars 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (188,5 en S9 vs 173,2 cas/semaine/100 000 hab. en S8)
  • Taux de positivité en augmentation (7,2% en S9 vs 6,2% en S8)
  • Augmentation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.13 (1.11-1.15)
  • Données hospitalières : 1 219 personnes encore hospitalisées dont 134 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 8.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters, depuis le 11 mai 2020 :
    • 758 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 102 sont en cours d’investigation
    • 252 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 23 sont en cours d’investigation


Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 08

En semaine 8 en Normandie, les indicateurs de surveillance épidémique poursuivent leur hausse. Les taux d’incidence ainsi que les taux de positivité sont en augmentation en Seine-Maritime, dans l’Eure et l’Orne et stable ou en diminution pour les autres départements. Le nombre de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est en augmentation et supérieur à 1.

La reprise épidémique ne s’observe pas complètement en milieu hospitalier. En effet, le nombre de nouvelles hospitalisations ainsi que le nombre total de personnes hospitalisées pour COVID-19 sont en diminution. Cependant, il existe un décalage de temps entre la reprise épidémique en population générale et l’impact sur les hospitalisations. Le nombre de personnes hospitalisées en réanimation est stable. Toutefois, le nombre de nouvelles admissions en réanimation augmente légèrement en semaine 8 surtout en Seine-Maritime.
La campagne de vaccination se poursuit, la couverture vaccinale ayant atteint le 3 mars 90,4 % pour la première dose et 73,2 % pour la deuxième dose chez les résidents d’EHPAD.
Les variants plus transmissibles deviennent prédominants. En semaine 8, 55,9 % des tests de première intention positifs (test RT-PCR et antigéniques) enregistrés dans SI-DEP étaient associés à un test de criblage (soit 3 728). Parmi eux, 59,7 % (2 225) correspondaient à une suspicion de variant UK et 5,8 % (216) à une suspicion de variant ZA ou BR. L’Eure et la Seine-Maritime présentaient, respectivement, une proportion de 79% et 60% de suspicions de variant UK, le Calvados 46%, l’Orne 37% et la Manche 33%. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 15,8% dans le Calvados, 15,4% dans la Manche, 7,3% dans l’Orne et inférieur à 3% dans les autres départements.

Au 28 février 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (172,3 en S8 vs 154,0 cas/semaine/100 000 hab. en S7)
  • Taux de positivité en augmentation (6,2% en S8 vs 5,3% en S7)
  • Augmentation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.08 (1.06-1.10)
  • Données hospitalières : 1 231 personnes encore hospitalisées dont 123 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en légère diminution par rapport à la semaine 7.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters, depuis le 11 mai 2020 :
    • 739 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 88 sont en cours d’investigation
    • 247 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 24 sont en cours d’investigation

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 07

En semaine 7 en Normandie, après une phase de diminution/stabilisation, les indicateurs de surveillance épidémique sont à la hausse. Les taux d’incidence sont en augmentation en Seine-Maritime, dans l’Eure et le Calvados avec un taux de positivité en augmentation uniquement en Seine-Maritime et stable pour les autres départements. Le nombre de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est stable et reste inférieur à 1.

La reprise épidémique ne s’observe pas encore en milieu hospitalier. En effet, le nombre de nouvelles hospitalisations ainsi que le nombre total de personnes hospitalisées pour COVID-19 sont en diminution. Cependant, il existe un décalage de temps entre la reprise épidémique en population générale et l’impact sur les hospitalisations. Le nombre de personnes hospitalisés en réanimation est stable.

Les premiers effets de la vaccination se dessinent avec une diminution des indicateurs épidémiologiques chez les plus de 75 ans, la couverture vaccinale ayant atteint le 23 février 89,5% pour la première dose et 65,4% pour la deuxième dose chez les résidents d’EHPAD.

Les variants plus transmissibles deviennent prédominants. En semaine 7,49 % des tests de première intention positifs (test RT-PCR et antigéniques) enregistrés dans SI-DEP étaient associés à un test de criblage (soit 2 799). Parmi eux, 45 % (1 274) correspondaient à une suspicion de variant UK et 6 % (162) à une suspicion de variant ZA ou BR. L’Eure et la Seine-Maritime présentaient, respectivement, une proportion de 71 % et 43 % de suspicions de variant UK, le Calvados 40 %, l’Orne 37 % et la Manche 21 %. La proportion de suspicions de variant ZA ou BR était de 18% dans le Calvados, 13% dans la Manche et inférieur à 3 % dans les autres départements.

Au 21 février 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (153,5 en S7 vs 134,1 cas/semaine/100 000 hab. en S6)
  • Taux de positivité en augmentation (5,3% en S7 vs 5,0% en S6)
  • Stabilisation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 0.97 (0.95-0.98)
  • Données hospitalières : 1 249 personnes encore hospitalisées dont 131 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 6.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters, depuis le 11 mai 2020 :
    • 717 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 109 sont en cours d’investigation
    • 242 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 51 sont en cours d’investigation


Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 06

En semaine 6 en Normandie, les indicateurs de surveillance épidémique poursuivent une tendance à la baisse.

Les taux d’incidences et de positivité sont en diminution avec une activité de dépistage en baisse. Le nombre de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est stable et reste inférieur à 1. En milieu hospitalier, on observe une diminution du nombre de nouvelles hospitalisations ainsi que du nombre total de personnes hospitalisées pour COVID-19. Le nombre de personnes hospitalisés en réanimation est stable. Ces tendances suggèrent un recul de l’activité épidémique avec une incidence encore élevée, dans un contexte de diffusion de nouveaux variants plus transmissibles.

Afin d’éviter une aggravation de la situation épidémiologique dans les prochaines semaines, les mesures de prévention et de distanciation sociale restent les principaux moyens à mettre en œuvre, pour freiner la circulation du virus SARS-CoV-2. La campagne de vaccination se poursuit et au 17 février, 142 526 personnes avaient reçu au moins une dose de vaccin en Normandie, soit une couverture vaccinale de 4,3%. Concernant les nouveaux variants, en semaine 6, 39% des tests de première intention positifs (test RT-PCR et antigéniques) enregistrés dans SI-DEP étaient associés à un test de criblage (soit 1 935). Parmi eux, 33 % (639) correspondaient à une suspicion de variant 20I/501Y.V1 (UK) et 5% (97) à une suspicion de variant 20H/501Y.V2 (ZA) ou 20J/501Y.V3 (BR). L’Eure et le Calvados présentaient, respectivement, une proportion de 60% et 30% de suspicions de variant 20I/501Y.V1 (UK), la Seine-Maritime 28%, l’Orne 21% et la Manche 15%. La proportion de suspicions de variant 20H/501Y.V2 (ZA) ou 20J/501Y.V3 (BR) était de 12% dans le Calvados, 9% dans la Manche, 5% dans l’Orne, 3% dans l’Eure et 1% en Seine-Maritime.

Au 14 février 2021,

  • Incidence des cas positifs en diminution (132,9 en S6 vs 163,6 cas/semaine/100 000 hab. en S5)
  • Taux de positivité en diminution (4,9% en S6 vs 5,6% en S5)
  • Stabilisation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 0.92 (0.90-0.94)
  • Données hospitalières : 1 283 personnes encore hospitalisées dont 135 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en diminution par rapport à la semaine 5.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters, depuis le 11 mai 2020 :
     669 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 98 sont en cours d’investigation
    • 239 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 73 sont en cours d’investigation



Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 05

En semaine 05, plusieurs indicateurs suivent une tendance à la baisse en région Normandie.

Les taux d’incidences et de positivité sont en diminution tandis que l’activité de dépistage est stable. Les taux d’incidence dans les agglomérations et métropole sont également relativement stables ou en baisses.

Le nombre de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est stable et reste inférieur à 1. En milieu hospitalier, on observe une diminution du nombre de nouvelles hospitalisations ainsi que du nombre total de personnes hospitalisés pour COVID-19. En revanche le nombre de personnes hospitalisés en réanimation est en augmentation. Ces tendances suggèrent un recul de l’activité épidémique mais l’incidence est encore très élevé et dans un contexte de diffusion de variants, plus transmissibles, l’hypothèse d’une aggravation de la situation épidémiologique dans les prochaines semaines fait toujours partie des scénarios à envisager. Les mesures de prévention et de distanciation sociale restent les principaux moyens permettant de freiner la circulation du virus SARS-CoV -2 et d’en réduire l’impact sur le système de soins et la mortalité.
La campagne de vaccination se poursuit auprès des personnes âgées de plus de 75 ans, des personnes fragiles et des professionnels de santé.

Au 9 février, 122 723 personnes avaient reçu au moins une dose en région Normandie, soit une couverture vaccinale de 3,7%. Dans les Ephad, 82,2% des résidents avaient reçu au moins une dose et 40,0% en avaient reçu deux, et chez les professionnels de santé travaillant dans ces établissements, 40,9% avaient reçu au moins une dose et 18,3% avaient reçu deux doses.

Au 7 février 2021,

  • Incidence des cas positifs en diminution (161,9 en S4 vs 173,7 cas/semaine/100 000 hab. en S4)
  • Taux de positivité stable (5,6% en S5 vs 5,9% en S4)
  • Stabilisation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 0.93 (0.91-0.96)
  • Données hospitalières : 1 309 personnes encore hospitalisées dont 128 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en diminution par rapport à la semaine 4.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters, depuis le 11 mai 2020 :
    • 635 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 64 sont en cours d’investigation
    • 235 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 71 sont en cours d’investigation



Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 03

En semaine 03, plusieurs indicateurs sont en hausse par rapport à la semaine précédente en région Normandie. Les taux d’incidences et de positivité sont en augmentation par rapport à la semaine précédente. En milieu hospitalier, on observe une augmentation importante du nombre de nouvelles hospitalisations se traduisant par une augmentation du nombre total de personnes hospitalisés pour Covid-19. Le nombre de nouvelles admissions en réanimation est également en augmentation, cependant le nombre total de personnes hospitalisés en réanimation pour Covid-19 est en légère baisse. Le nombre de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation est quand à lui en diminution, mais reste supérieur à 1. Au 24/01, 9 cas porteur du nouveau variant circulant au Royaume-Uni a été retrouvé en Normandie. Les mesures de prévention et de distanciation sociale restent les principaux moyens permettant de freiner la circulation du virus SARS-CoV-2 et d’en réduire l’impact sur le système de soins et la mortalité. La campagne de vaccination se poursuit auprès des personnes âgées de plus de 75 ans, des personnes fragiles et des professionnels de santé. Au 26 janvier, 83 108 personnes avaient reçu au moins une dose en région Normandie, soit une couverture vaccinale de 2,5%.

Au 24 janvier 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (187,9 en S3 vs 177,5 cas/semaine/100 000 hab. en S2)
  • Taux de positivité en augmentation (6,5% en S3 vs 6,1% en S2)
  • Diminution du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1,15 (1,13-1,17)
  • Données hospitalières : 1 324 personnes encore hospitalisées dont 97 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 2.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
    • depuis le 11 mai, 565 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 58 sont en cours d’investigation
    • depuis le 11 mai, 204 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 43 sont en cours d’investigation



Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 01 2021

En semaine 01, les indicateurs de suivi de l’épidémie de la Covid-19 montraient une augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 en Normandie, faisant suite au contexte de rassemblements festifs de fin d’année. Par ailleurs, l’apparition de nouveaux variants du virus sur le territoire national pourrait conduire à une accélération de l’épidémie et nécessite une vigilance accrue. Au 12/01, un cas porteur du nouveau variant circulant au Royaume-Uni a été retrouvé en Normandie.

Le recours au dépistage a ré-augmenté après une baisse observée en semaine 53. Le taux d’incidence sur 7 jours était en augmentation, notamment chez les 20-29 ans. Le taux de reproduction effectif (qui traduit la vitesse de propagation du virus) était significativement plus élevé qu’en S53.
En milieu hospitalier, le taux hebdomadaire d’hospitalisations a augmenté en Seine-Maritime mais est resté stable dans les autres départements. Le taux de passages aux urgences pour suspicion de Covid-19 était également en augmentation en Seine-Maritime.
Les mesures de prévention et de distanciation sociale restent les principaux moyens permettant de freiner la circulation du virus SARS-CoV-2 et d’en réduire l’impact sur le système de soins et la mortalité. La campagne de vaccination s’est intensifiée depuis le 04 janvier 2021. Elle vise dans un premier temps les résidents en EHPAD et les professionnels de santé. D’après les données transmises par l’Agence régionale de santé Normandie, 15 645 personnes ont été vaccinées contre la COVID-19 en Normandie au 12 janvier 2021.

Au 10 janvier 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (166,6 vs 119,1 cas/semaine/100 000 hab. en S53)
  • Taux de positivité en augmentation (5,79% en S1 vs 4,77% en S53)
  • Augmentation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1,24 (1,21-1,26)
  • Données hospitalières : 1 245 personnes encore hospitalisées dont 105 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 53.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
    • depuis le 11 mai, 464 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 27 sont en cours d’investigation
    • depuis le 11 mai, 175 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 43 sont en cours d’investigation


Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 53

En semaine 53, les taux d’incidence et les taux de positivité sont en hausse en région Normandie, tandis que les taux de dépistage sont en diminution après l’augmentation observée avant les fêtes de fin d’année. Le taux de reproduction effectif (qui traduit la vitesse de propagation) était stable mais toujours supérieur à 1.

Ces tendances font craindre une reprise épidémique à la suite des rassemblements de fin d’année, mais reste à confirmer selon l’évolution dans les prochaines semaines.
Le nombre de nouvelles hospitalisations était également en augmentation.

Concernant la mortalité, le niveau de mortalité standardisé tous âges toutes causes n’est plus classé en excès depuis la semaine 51.

Au 03 janvier 2021,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (119,1 vs 95,7 cas/semaine/100 000 hab. en S52)
  • Taux de positivité en augmentation (4,77% en S53 vs 2,65% en S52)
  • Stabilité du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1,05 (1,03-1,08)
  • Données hospitalières : 1 127 personnes encore hospitalisées dont 93 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 51.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
    • depuis le 11 mai, 449 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 15 sont en cours d’investigation
    • depuis le 11 mai, 167 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 45 sont en cours d’investigation

Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 52

En semaine 52, plusieurs indicateurs sont en baisse en région Normandie, notamment le taux d’incidence et le taux de positivité. Ces indicateurs ont été influencés par une l’augmentation de l’activité de dépistage avant les fêtes de fin d’année, une baisse de l’activité les jours fériés, comme au niveau national et par la campagne de dépistage massif organisée dans la CU du Havre Seine Métropole du 14 au 19 décembre. Ces indicateurs sont donc à interpréter avec prudence.

Le nombre de nouvelles hospitalisations était également en diminution.
Le taux de reproduction effectif (qui traduit la vitesse de propagation) était stable mais toujours supérieur à 1. Concernant la mortalité, le niveau de mortalité standardisé tous âges toutes causes n’est plus classé en excès.

Au 27 décembre 2020,

  • Incidence des cas positifs en diminution (95,4 vs 102,9 cas/semaine/100 000 hab. en S51)
  • Taux de positivité en diminution (2,65% en S52 vs 3,3 % en S51)
  • Stabilité du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1,04 (1,01-1,06)
  • Données hospitalières : 1 136 personnes encore hospitalisées dont 89 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en diminution par rapport à la semaine 51.
  • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
    • depuis le 11 mai, 445 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 43 sont en cours d’investigation
    • depuis le 11 mai, 158 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 39 sont en cours d’investigation


Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 51

En semaine 51 plusieurs indicateurs sont en augmentation en région Normandie notamment le taux d’incidence et le taux de reproduction effectif (qui traduit la vitesse de propagation). Le taux de positivité des tests est en diminution par rapport à la semaine précédente. Ces indicateurs ont été influencés par la campagne de dépistage massif organisée dans la CU du Havre Seine Métropole du 14 au 19 décembre.
Concernant la mortalité, le niveau de mortalité standardisé tous âges toutes causes est classé en excès modéré depuis la semaine 43 hormis pour la semaine 49 où il était en excès élevé. Le nombre hebdomadaire de décès parmi les patients hospitalisés pour Covid-19 est en diminution.

Au 20 décembre 2020,

  • Incidence des cas positifs en augmentation (102,0 vs 88,7 cas/semaine/100 000 hab. en S50)
  • Diminution du taux de positivité (3,3% en S51 vs 5,0 % en S50)
  • Augmentation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1,09 (1,06-1,12)
  • Données hospitalières : 1 128 personnes encore hospitalisées dont 89 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 50.
  • depuis le 11 mai, 425 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 36 sont en cours d’investigation
  • depuis le 11 mai, 157 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 39 sont en cours d’investigation
  • Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 50

    En semaine 50, plusieurs indicateurs sont en augmentation en région Normandie notamment le taux d’incidence, le taux de positivité et le taux de reproduction effectif (qui traduit la vitesse de propagation). L’augmentation du taux d’incidence pourrait s’expliquer en partie par une augmentation du nombre de dépistages et du nombre de clusters signalés et investigués, ce qui pourrait correspondre à une ré-intensification de l’épidémie.

    Concernant la mortalité, le niveau de mortalité standardisé tous âges toutes causes est classé en excès modéré depuis la semaine 43. Le nombre hebdomadaire de décès par-mi les patients hospitalisés pour Covid-19 est en diminution.

    Au 13 décembre 2020,

    • Incidence des cas positifs en augmentation (88,7 en S50 vs 74,6 cas/semaine/100 000 hab. en S49) ainsi que le taux de positivité (5,0 % en S50 vs 4,7 % en S49)
    • Augmentation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 0,88 (0,86-0,91)
    • Données hospitalières : 1 048 personnes encore hospitalisées dont 79 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation par rapport à la semaine 49.
    •  Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 421 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 48 sont en cours d’investigation
      • depuis le 11 mai, 151 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 44 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 49

    En semaine 49 la majeure partie des indicateurs poursuivent leur baisse, confirmant le recul de l’épidémie dans la région Normandie. Ainsi, l’incidence du nombre de cas, le taux de positivité, le nombre de nouvelles hospitalisations (conventionnelles et réanimation) ont diminué. Le taux de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est passé en dessous de 1 depuis la semaine 46. Concernant la mortalité, le niveau d’excès de mortalité standardisé tous âges toutes causes est classé modéré depuis la semaine 43 mais semble diminuer (à confirmer dans les semaines à venir). Le nombre hebdomadaire de décès parmi les patients hospitalisés pour Covid-19 est en diminution.

    Au 6 décembre 2020,

    • Incidence des cas positifs en diminution (72,8 en S49 vs 87,5 cas/semaine/100 000 hab. en S48) ainsi que le taux de positivité (4,7 % en S49 vs 5,1 % en S48)
    • Diminution du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 0,66 (0,64-0,68)
    • Données hospitalières : 1 123 personnes encore hospitalisées dont 84 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en baisse depuis la semaine 45.
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 408 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 39 sont en cours d’investigation
      • depuis le 11 mai, 146 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 46 sont en cours d’investigation


    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 48

    En semaine 48 la majeure partie des indicateurs poursuivent leur baisse, confirmant le recul de l’épidémie dans la région Normandie. Ainsi, l’incidence du nombre de cas, le taux de positivité, le nombre de nouvelles hospitalisations (conventionnelles et réanimation) ou le nombre de clusters signalés sont en diminution. Le taux de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est passé en dessous de 1 depuis la semaine 46. Concernant la mortalité, le niveau d’excès de mortalité standardisé tous âges toutes causes est classé modéré depuis la semaine 43 mais semble diminuer (à confirmer dans les semaines à venir).  Le nombre hebdomadaire de décès parmi les patients hospitalisés pour Covid-19 est en diminution.

    Au 29 novembre 2020,

    • Incidence des cas positifs en diminution (87,5 en S48 vs 144,9 cas/semaine/100 000 hab. en S47) ainsi que le taux de positivité (8,9 % en S48 vs 11,9 % en S47)
    • Diminution du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 0,62 (0,61-0,63)
    • Données hospitalières : 1 229 personnes encore hospitalisées dont 114 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en baisse depuis la semaine 45.
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 389 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 75 sont en cours d’investigation
      • depuis le 11 mai, 137 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 113 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 47

    En semaine 47 la majeure partie des indicateurs sont en baisse, confirmant le recul de l’épidémie dans la région Normandie. Ainsi, l’incidence du nombre de cas, le taux de positivité, le nombre de nouvelles hospitalisations (conventionnelles et réanimation) ou le nombre de clusters signalés sont en diminution. Le taux de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est passé en dessous de 1 depuis la semaine 46. Concernant la mortalité, le niveau d’excès de mortalité standardisé tous âges toutes causes est classé modéré depuis la semaine 43 mais semble diminuer (à confirmer dans les semaines à venir).  Le nombre hebdomadaire de décès parmi les patients hospitalisés pour Covid-19 est en diminution pour la première fois depuis la semaine 37.

    Au 22 novembre 2020,

    • Incidence des cas positifs en diminution (135,8 en S47 vs 193,3 cas/semaine/100 000 hab. en S46) ainsi que le taux de positivité (12 % en S47 vs 13,9 % en S46)
    • Diminution du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 0.67 (0.66-0.69)
    • Données hospitalières : 1310 personnes encore hospitalisées dont 132 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en baisse depuis la semaine 45.
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 369 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 101 sont en cours d’investigation
      • depuis le 11 mai, 132 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 108 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 46

    La semaine 46 est marqué par la baisse de nombreux indicateurs, suggérant que l’épidémie est en phase descendante dans la région. Ainsi, l’incidence du nombre de cas de Covid-19, le taux de positivité, le nombre de nouvelles hospitalisations ou le nombre de  nouveaux épisodes signalés dans les établissements médicaux sociaux sont en diminution. Le taux de reproduction effectif, qui traduit la vitesse de propagation, est passé en dessous de 1. Cependant, on observe toujours un pic de mortalité supérieur à l’attendu, le niveau d’excès de mortalité standardisé tous âges toutes causes est classé modéré depuis la semaine 43. Le nombre de décès parmi les patients hospitalisés pour Covid-19 continue d’augmenter.

    Au 15 novembre 2020,

    • Incidence des cas positifs en nette diminution (193,3 en S46 vs 321,0 en S45 cas/semaine/100 000 hab.) et diminution du taux de positivité (13,8% en S46 vs 16,7 % en S45)
    • Diminution du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2, devenant inférieur à 1 : 0.82 (0.81-0.83)
    • Données hospitalières : 1397 hospitalisations dont 155 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en baisse depuis la semaine 45.
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 317 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 107 sont en cours d’investigation
      •  depuis le 11 mai, 125 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 100 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 45

    On observe pour la première fois depuis la semaine 40 une diminution du taux d’incidence des cas de Covid-19 dans les 5 départements de la région. D’autres indicateurs sont également en baisse, notamment une diminution du nombre hebdomadaires d’épisodes signalés dans le secteur médico-social et une diminution du nombre de nouvelles hospitalisations. En revanche le nombre d’hospitalisations en réanimation reste en augmentation. Il est toujours observé des pic de mortalité supérieurs à l’attendu, le niveau d’excès de mortalité standardisé tous âges toutes causes est classé modéré depuis la semaine 43.

    Au 08 novembre 2020,

    • Incidence des cas positifs en diminution (317,7 en S45 vs 366,7 en S44 cas/semaine/100 000 hab.) et diminution du taux de positivité (16,7% en S44 vs 19,4 % en S44)
    • Diminution du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2, qui reste supérieur à 1 : 1,10 (1,08-1,11)
    • Données hospitalières : 1379 hospitalisations dont 172 en réanimation,  le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 289 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 93 sont en cours d’investigation
      •  depuis le 11 mai, 102 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 90 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 44

    L’augmentation rapide de l’incidence des cas de Covid-19 en Normandie se poursuit dans les cinq départements de la région. Les indicateurs dans les secteurs sanitaire et médico-social suivent la même tendance à la hausse, avec un nombre élevé d’hospitalisations et de réanimations au regard des semaines précédentes ainsi qu’une fréquence soutenue de nouveaux signalements en Ehpad. Il est observé des pics d’excès de mortalité dans la région par rapport à l’attendu, dont le lien avec l’épidémie de Covid-19, sans qu’il puisse être affirmé, est possible et doit être surveillé.

    EN RAISON DE DÉLAIS LONGS DE TRAITEMENT DES INFORMATIONS, le nombre de cas positifs en Normandie en semaine 44 est sous-estimé, l’incidence de la maladie est susceptible d’être révisée à la hausse la semaine prochaine.

    Au 01 novembre 2020,

    • Incidence des cas positifs en augmentation (352,5 en S44 vs 284,9 en S43 cas/semaine/100 000 hab.) et progression du taux de positivité (19,1% en S44 vs 17,0 % en S43)
    • Stabilisation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR posi-tifs au SARS-COV-2, qui reste supérieur à 1 : 1,22 (1,21-1,24)
    • Données hospitalières : 1196 hospitalisations dont 147 en réanimation,  le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 244 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 86 sont en cours d’investigation
      • depuis le 11 mai, 72 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 60 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 43

    La situation épidémiologique continue à se dégrader avec une nette augmentation de l’incidence des cas de Covid-19 en Normandie, visible dans les cinq départements de la région. L’augmentation des indicateurs d’offre de soins est plus lente, cependant, le volume de signalements en secteur médico-social et d’hospitalisation est proche de celui observé au mars dernier. La plus grande vigilance doit ainsi être

    maintenue auprès des personnes à risques, notamment les personnes âgées, compte tenu de la fragilité de cette population dans laquelle survient le plus grand nombre de décès dus au SARS-CoV-2.

    Au 25 octobre 2020,

    • Incidence des cas positifs en augmentation (277,8 en S43 vs 182,5 en S42 cas/semaine/100 000 hab.) et progression du taux de positivité (16,7% en S43 vs 12,6 % en S42)
    • Stabilisation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2, qui reste supérieur à 1 : 1,28 (1,26-1,30)
    • Données hospitalières : 853 hospitalisations dont 107 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 208 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 78 sont en cours d’investigation
      • depuis le 11 mai, 53 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 41 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 42

    La situation épidémiologique continue à se dégrader avec une nette augmentation de l’incidence des cas de Covid-19 en Normandie, visible dans les cinq départements de la région. L’augmentation des indicateurs d’offre de soins est plus lente, cependant, le volume de signalements en secteur médico-social et d’hospitalisation est proche de celui observé au mars dernier. La plus grande vigilance doit ainsi être maintenue auprès des personnes à risques, notamment les personnes âgées, compte tenu de la fragilité de cette population dans laquelle survient le plus grand nombre de décès dus au SARS-CoV-2.

    Au 18 octobre 2020,

    • Incidence des cas positifs en augmentation (182,5 en S42 vs 140,5 en S41 cas/semaine/100 000 hab.) et progression du taux de positivité (12,6% en S42 vs 11,7 % en S41)
    • augmentation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2, qui reste supérieur à 1 : 1,30 (1,27-1,34)
    • Données hospitalières : 566 hospitalisations dont 86 en réanimation, le nombre de nouvelles hospitalisations est en augmentation
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 168 clusters (hors EHPAD) ont été enregistrés sur la région dont 58 sont en cours d’investigation 
      • depuis le 11 mai, 40 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 29 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 41

    Très nette augmentation de l’incidence des cas de Covid-19 en Normandie, visible dans les cinq départements de la région. Cette rapidité de progression ne s’observe pas pour l’instant sur les indicateurs de recours aux soins qui augmentent plus len- tement, cependant les nombres d’hospitalisations quotidiennes et de signalements en secteur médico-social sont proches de ceux observés au printemps dernier.

    Au 11 octobre 2020,

    • augmentation de l’incidence (140,5 en S41 vs 89,9 en S40 cas/semaine/100 000 hab) et progression du taux de positivité (8,7% en S40 vs 8,5% en S39)

    • Nombre de reproduction effectif (R effectif) en augmentation à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.30 (1.27-1.33)
    • Données hospitalières : 416 hospitalisations dont 64 en réanimation, en augmentation

    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :

      • depuis le 11 mai, 135 clusters ont été enregistrés sur la région dont 41 sont en cours d’investigation (hors EHPAD)

      • depuis le 11 mai, 36 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 27 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 40

    Progression de la circulation virale en Normandie tout comme en France. Elle concerne toutes les tranches d’âge et plus particulièrement les jeunes adultes (20-30 ans). La Seine-Maritime, l’Eure et le Calvados sont classés en zone de circulation active du virus (ZCA). Les incidences sont particulièrement élevées dans les grosses agglomérations.

    Au 4 octobre 2020,

    • augmentation de l’incidence (89,5 en S40 vs 87,9 en S39 cas/semaine/100 000 hab) et progression du taux de positivité (8,7% en S40 vs 8,5% en S39)
    • Nombre de reproduction effectif (R effectif) en légère diminution à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2: 1.02 (0.99-1.04)
    • Données hospitalières : 302 hospitalisations dont 62 en réanimation, en augmentation
    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters :
      • depuis le 11 mai, 106 clusters ont été enregistrés sur la région dont 23 sont en cours d’investigation (hors EHPAD)
      • depuis le 11 mai, 24 clusters en EHPAD ont été enregistrés sur la région dont 15 sont en cours d’investigation

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 39

    Progression de la circulation virale en Normandie tout comme en France. Elle concerne toutes les tranches d’âge et plus particulièrement les jeunes adultes (20-30 ans). La Seine-Maritime, l’Eure et le Calvados sont classés en zone de circulation active du virus (ZCA). Les incidences sont particulièrement élevées dans les grosses agglomérations.

    Au 27 septembre 2020,

    • Diminution de l’incidence (82,0 en S39 vs 88,0 en S37 cas/semaine/100 000hab) et progression du taux de positivité (7,4% en S39 vs 6,0% en S38)

    • Nombre de reproduction effectif (R effectif) en légère diminution à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2: 1.03 (1.00-1.06)

    • Données hospitalières : 258 hospitalisations dont 42 en réanimation, en augmentation

    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters : depuis le 11 mai, 94 clusters ont été enregistrés sur la région dont 35 sont en cours d’investigation dont 14 en Ehpad.

      En semaine 39 :

    • SOS Médecins : en diminution (9,4% en S39 vs 12,4% en S38)
    • Urgences hospitalières (Oscour®) : Activité faible, en diminution par rapport à la semaine précédente (0,9% en S39 vs 1,3% en S38)

    • Episodes COVID-19 en établissement médico-social : 14 signalements dont 11 avec des cas confirmés en S39 (vs 29 signalements en S38)

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 38

    Progression de la circulation virale en Normandie tout comme en France. Elle concerne toutes les tranches d’âge et plus particulièrement les jeunes adultes (20-30 ans). La Seine-Maritime, l’Eure et le Calvados sont classés en zone de circulation active du virus (ZCA). Les incidences sont particulièrement élevées dans les grosses agglomérations.

    Au 20 septembre 2020,

    • Progression de l’incidence (79,3 en S38 vs 66,2 en S37 cas/semaine/100 000hab) et du taux de positivité (6,1% en S38 vs 4,6% en S37)

    • Nombre de reproduction effectif (R effectif) en légère diminution à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2: 1.21 (1.17-1.24)

    • Données hospitalières : 208 hospitalisations dont 31 en réanimation, en augmentation

    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters : depuis le 11 mai, 88 clusters ont été enregistrés sur la région dont 23 sont en cours d’investigation (10 en Seine-Maritime, 4 dans l’Eure, 5 dans le Calvados, 2 dans la Manche et 2 dans l’Orne)

      En semaine 38 :

    • SOS Médecins : en augmentation (12,4% en S38 vs 10,8% en S37)

    • Urgences hospitalières (Oscour®) : Activité faible, en légère augmentation par rapport à la semaine précédente (1,5% en S38 vs 1,2% en S37)

    • Episodes COVID-19 en établissement médico-social : 20 signalements dont 12 avec des cas confirmés en S38 (vs 26 signalements en S37)

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 37

    Progression de la circulation virale en Normandie tout comme en France. Elle concerne toutes les tranches d’âge et plus particulièrement les jeunes adultes (20-30 ans). La Seine-Maritime, l’Eure et le Calvados sont classés en zone de circulation active du virus (ZCA).

    Au 13 septembre 2020,

    • Progression de l’incidence (56,5 en S37 vs 42,8 en S36 cas/semaine/100 000hab) et du taux de positivité (4,6% en S37 vs 4,0% en S36)

    • Nombre de reproduction effectif (R effectif) stable à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2: 1.34 (1.30-1.39)

    • Données hospitalières : 140 hospitalisations dont 15 en réanimation, en augmentation

    • Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters : depuis le 11 mai, 75 clusters ont été enregistrés sur la région dont 20 sont en cours d’investigation (10 en Seine-Maritime, 7 dans l’Eure et 3 dans le Calvados)

      En semaine 37 :

    • SOS Médecins : en augmentation (10,8% en S37 vs 7,7% en S36)
    • Urgences hospitalières (Oscour®) : Activité faible, en augmentation par rapport à la semaine précédente (1,2% en S37 vs 0,9% en S36)

    • Episodes COVID-19 en établissement médico-social : 16 signalements dont 12 avec des cas confirmés en S37 (vs 17 signalements en S36)

    Une augmentation du nombre d’actes pour suspicion de Covid-19 est observée depuis la semaine 36 chez
    les moins de 15 ans, probablement en lien avec le retour en collectivité de la rentrée
    . Cette augmentation
    peut être le reflet d’autres pathologies. En effet comme tous les ans à cette période de l’année, il y a une
    circulation active de rhinovirus.

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 36

    Progression de la circulation virale en Normandie tout comme en France. Elle concerne toutes les tranches d’âge et plus particulièrement les jeunes adultes (20-30 ans).

    La Seine-Maritime a été classée en zone de circulation active du virus (ZCA) en semaine 35.

    Au 7 septembre 2020,

    - Progression de l’incidence (42,8 en S36 vs 32,1en S35 cas/semaine/100 000hab) et du taux de positivité (4,0% en S36 vs 3,1% en S35)

    - Nombre de reproduction effectif (R effectif) stable à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2: 1.44 (1.38-1.49)

    - Données hospitalières : 82 hospitalisations dont 8 en réanimation, en légère augmentation

    - Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters : depuis le 11 mai, 57 clusters ont été enregistrés sur la région dont 9 sont en cours d’investigation (5 en Seine-Maritime, 2 dans l’Eure et 2 dans le Calvados)

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 35

    Progression de la circulation virale en Normandie tout comme en France. Elle concerne toutes les tranches d’âge et plus particulièrement les jeunes adultes (20-30 ans).

    La Seine-Maritime a été classée en zone de circulation active du virus (ZCA).

    Au 30 aout 2020,

    - Progression de l’incidence (30,6 en S35 vs 14,2 en S34 cas/semaine/100 000hab) et du taux de positivité (3,2% en S35 vs 1,9% en S34)

    - Augmentation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2 : 1.62 (1.53-1.71)

    - Données hospitalières : 69 hospitalisations dont 2 en réanimation, toujours à la baisse

    - Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters : depuis le 11 mai, 50 clusters ont été enregistrés sur la région dont 10 sont en cours d’investigation (9 en Seine-Maritime et 1 dans le Calvados)

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 32

    Progression de la circulation virale en Normandie tout comme en France.

    Elle concerne toutes les tranches d’âge et plus particulièrement les jeunes adultes.

    Au 10 aout 2020,

    Progression de l’incidence (6,1 en S32 vs 3,9 en S31 cas/semaine/100 000 h) et du taux de positivité (1,03% en S32 vs 0,66% en S31) dans les 5 départements

    Augmentation du nombre de reproduction effectif (R effectif) à partir des tests PCR positifs au SARS-COV-2: 1,44 (1,25-1,65)

    Données hospitalières : 126 hospitalisations dont 4 en réanimation, toujours à la baisse

    Clusters - Signalement à visée d’alerte des clusters : depuis le 11 mai, 30 clusters ont été enregistrés sur la région dont 8 sont en cours d’investigation (1 dans le Calvados, 3 dans l’Eure et 4 en Seine-Maritime)

    Évolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 30

    En semaine 30, en Normandie,18.236 patients ont été testés pour le SARS-CoV-2, et pour 99 patients, les tests se sont avérés positifs. Le taux de positivité hebdomadaire était de 0,54 % (calculé sur les tests valides). Ce taux est stable par rapport à la semaine précédente S29 (0,47 %).

    Les incidences départementales sont en deçà du seuil d’attention.

    Une augmentation de l’incidence de Seine-Maritime a été observée de mi-juin à mi-juillet dû à un cluster dans l’agglomération de Rouen, la situation est actuellement maitrisée. Depuis mi-juillet, une augmentation de l’incidence du Calvados est observée, dû à un cluster dans l’agglomération de Caen-La-Mer, situation maitrisée.

    Cluster de l'agglomération Rouen depuis fin mai (Santé Publique France - 02 Juillet 2020)

    En Normandie, au 1er juillet 2020, 15 clusters ont été investigué depuis le déconfinement (hors clusters intrafamiliaux et en EHPAD), 8 clôturés (absence de nouveaux cas 14 jours après la date de début des signes du dernier cas ET la fin de la quatorzaine des contacts), 1 maitrisé (suivi des contacts en cours et absence de nouveaux cas 7 jours après le dernier cas) et 7 en cours d’investigation. Parmi les clusters encore en cours d’investigation:

    • 1 cluster dans l’Eure (cluster établissement de santé);
    • 6 clusters en Seine-Maritime dont 2 en milieu professionnel, 2 en cluster familial élargi, 1 en cluster établissement public ou privé (rassemblements temporaires de personnes) et 1 cluster en unité géographique de petite taille.

    Une augmentation du taux d’incidence est observée en Normandie depuis mi-juin. Cette tendance est due à la présence de plusieurs clusters en cours d’investigation en Seine-Maritime (n=6), plus particulièrement dans l’agglomération de Rouen dont un concerne un EHPAD. Au total, plus de 140 cas positifs ont été recensés dans l’agglomération rouennais.

    Point épidémiologique - Mme Martel Mélanie (Santé Publique France - Cire Normandie)

    Le nombre de cas COVID dans la région est actuellement en augmentation, avec l’apparition récente de plusieurs clusters dans l’agglomération rouennaise.

    Vous retrouverez la présentation commentée sur la webconférence session 2

    Evolution Épidémiologique - Santé Publique France - Semaine 47

    En semaine 47, la Normandie connait une nouvelle forte hausse de la circulation du SARS-CoV-2, avec un taux d’incidence régional à 179 pour 100 000 habitants.

    Au niveau scolaire, une forte augmentation du taux d’incidence chez les 6-10 ans est observée (366/100 000), avec un taux de positivité croissant malgré l’augmentation de l’activité de dépistage dans cette classe d’âge. Par ailleurs, plus de la moitié des clusters déclarés sont en milieux scolaires et universitaires.

    Tous les départements normands présentaient une augmentation de leur taux d’incidence, dont le plus important concernait la Manche (+ 75 %). La croissance la moins importante concernait l’Orne (+ 26 %), qui restait néanmoins le département avec le taux d’incidence le plus élevé (238 /100 000 hab.). Les taux de dépistage étaient en forte hausse, et restaient les plus élevés dans le Calvados et la Seine-Maritime.

    En parallèle, le nombre de nouvelles hospitalisations et de nouvelles admissions en soins critiques repartaient à la hausse dans la région.

    Au 30 novembre, 95,7 % des normands de plus de 12 ans avaient reçu au moins une dose de vaccin et 94,1 % étaient complètement vaccinés. Parmi les 75 ans et plus, 57,2 % avaient reçu une dose de rappel.

    Dans un contexte d’augmentation de la circulation du SARS-CoV-2 et des virus hivernaux, notamment chez les plus âgés, il est primordial d’encourager la vaccination des personnes âgées encore non vaccinées ainsi que l’administration du rappel aux personnes éligibles (dont celles âgées de 65 ans et plus), et de maintenir l’adhésion aux gestes barrières à un haut niveau, compte tenu de l’efficacité de ces mesures qui a été observée jusqu’à présent pour contenir l’épidémie et préserver le système de soins.